The Bloody Beetroots se caractérise par l’electro-punk qu’il déverse en concert et les masques de Venom sous lesquels il se cache. En 2008, le maxi Cornelius attire l’attention. Deux ans plus tard sort Romborama, premier album du duo devenu trio entre temps. Best of…Remixes en 2011, reprend la crème du travail de remix de The Bloody Beetroots pour d’autres artistes. Sur Hide en 2013, le duo italien invite Paul McCartney, Youth, Theophilus London, Peter Frampton, ou Tommy Lee.
Formé en 2007 par le producteur Bob Rifo et le DJ Tommy Tea, The Bloody Beetroots est signé sur le label Dim Mak de Steve Aoki.
Le duo italien qui a pour habitude d’apparaître avec des masques du personnage de comics Venom, se fait remarquer par une série de remixes allant de Rinôçérose ou Etienne de Crécy à Naive New Beaters ou Cazals. En 2008, le premier EP Rombo et le maxi Cornelius attirent l’attention du public qui télécharge massivement ces titres electro-punk.
L’année suivante apparaît un nouveau membre, le batteur Edward Grinch. Le trio publie le single « Warp », avant-goût de l’album Romborama à l’été 2009. Lors d’un concert de la tournée 2010 à Sydney (Australie), The Bloody Beetroots se fait prendre en flagrant délit d’utilisation du logiciel Pro Tools : le « BB Death Crew 77 » présente alors ses excuses sur scène, avant de poursuivre sa tournée jusqu’au Main Square Festival d’Arras en juin.
Best of…Remixes en 2011 met en lumière le travail de remix de The Bloody Beetroots. Tiga, Vitalic, Etienne de Crécy ou Chemical Brothers sont ainsi mangés à la sauce de betteraves sanglantes. Le duo supersonique sort en septembre 2013 l’album Hide, où Paul McCartney, Youth, Peter Frampton, Tommy Lee, et Theophilis London prêtent leur talent à un fulgurant condensé d’electro rock.
Les pérégrinations de Bloody Beetroots guident ses pas jusqu’au Festival des Kampagn’arts 2020
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